La sécurité alimentaire est sensiblement plus élevée en Europe qu’aux États-Unis, pays favorable aux OGM et dans lequel 10 % des habitants sont tributaires d’une aide alimentaire, ou qu’au Brésil, où plus d’un tiers de la population souffre de la faim.
Toutefois, les aliments génétiquement modifiés pourraient bientôt être à l’ordre du jour en Suisse si les propositions actuelles de la Commission européenne prennent le dessus. Le secteur bio est particulièrement concerné, car il doit assumer les risques, les coûts et les contrôles qui revenaient jusqu’à présent aux responsables ou à l’État.