Depuis quand transformez-vous des produits Bourgeon?
Quels sont les défis pour fabriquer des produits selon le Cahier des charges de Bio Suisse?
Où achetez-vous vos matières premières?
Par exemple, en quoi la fabrication de la mayonnaise Bourgeon est-elle différente de celle de la mayonnaise conventionnelle?
Quelle plus-value procure la possibilité de vendre des produits avec la licence Bourgeon?
Quels sont les avantages pour les consommateurs qui mangent des produits transformés selon le Cahier des charges de Bio Suisse?
Quels matériaux d’emballage utilisez-vous?
Comment s’est déroulé le passage aux couvercles twist-off sans PVC?
Comment les réglages ont-ils été adaptés?
Allez-vous étoffer votre assortiment bio à l’avenir?
Quelles sont vos filières de distribution?
Si vous pouviez transmettre un souhait à Bio Suisse?
Pouvez-vous développer cela à l’aide d’un exemple concret?
Nous voulions fabriquer une sauce bolognaise végétarienne et nous avons utilisé pour cela du soja extrudé. La sauce serait devenue très bonne du point de vue de la texture et du goût. Lors du processus de fabrication du soja extrudé, nous avons dépassé la pression et la température maximales autorisées pour l’extrusion. C’est pourquoi Bio Suisse n’a pas autorisé ce soja extrudé pour la sauce bolognaise, car la transformation douce est un principe de la transformation Bourgeon. Cette technique de transformation est purement physique et pas chimique. Elle aurait, à mon avis, fortement amélioré l’aspect sensoriel du produit.
En savoir plus sur le site de la société:
saucen.ch